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Que faire quand le mal être surgit?

Il semblerait que tout va bien, et qu’on n’a pas vraiment à se plaindre. La vie peut être relativement confortable: on a un toit, suffisamment pour se nourrir et se vêtir, un travail et une vie sociale comme tout un chacun, avec ses hauts et ses bas, une vie normale quoi! Et dans des moments d’attente ou d’inoccupation, un sentiment de mal être ou de nervosité comme une sorte d’agitation un peu triste nous prend.

Dans ces moments, il peut être parmi nos habitudes les plus courantes de réagir en compensant avec des substances telles que la nicotine, l’alcool, la drogue, des médicaments, du chocolat ou du sucre. Il se peut aussi qu’on se déverse dans une occupation telle que pianoter sur son portable en regardant tous les posts Facebook de tous ses amis, ou s’adonner au travail, ou faire du sport à outrance etc. C’est monnaie courante d’essayer de justifier ou d’expliquer ce mal être et d’essayer de compenser en achetant l’objet qui nous manque, en recherchant la relation ou la situation parfaite qui nous manquent. Bref, la diversité des réactions au mal être qu’on ressent est infinie. Chaque individu a son truc pour ne pas faire face à cette « chose » qui ne part jamais vraiment. Cela revient toujours.

Ainsi va la vie jusqu’au moment où rien ne nous soulage plus vraiment, en tout cas on comprend qu’on a eu recours jusqu’à présent qu’à des palliatifs. Le mal être est comme une bombe intérieure à retardement. A ce moment de vérité, il y a un lâcher prise, une humilité de notre mental qui reconnaît qu’il ne réussira jamais à générer la plénitude totale tant désirée par chacun. C’est un moment précieux. C’est peut-être le début d’une nouvelle manière de vivre.

Quand le sentiment de mal être surgit, juste écoutez-le. Ecoutez-le, ressentez-le à plein corps, avec toute votre capacité à ressentir, à vivre le moment. Sans aucun jugement, sans aucun mouvement de rejet ou de vouloir soulager qui que ce soit. Ecoutez le souffle, écoutez comment le souffle traverse toutes les autres sensations, écoutez quel type de pensées apparaissent…Sans limite de temps, sans objectif. Juste l’écoute, juste le ressenti pur.

Et voyez ce qui est là, vivez ce qui se passe.

Ceci est une invitation à la vraie plénitude. Vivez l’expérience et écrivez-moi en retour 🙂

LOVE,

Kamala

 

La vraie action

Dans le cheminement spirituel, on entend des enseignements qui disent qu’il n’y a rien à faire, que tout est déjà là. Cela peut prêter à confusion, et justifier des comportements de passivité mal placée. Agir dans le non agir, c’est cela la vraie action, mais cela demande clarification.

L’action vraie dépend du point de vue à partir duquel elle est menée et observée. A partir de l’entité séparée de l’égo, il n’y a pas de véritable action, mais plutôt une réaction quasi automatique qui provient du conditionnement du passé. Quand la source d’une action est la peur, la colère, et toute forme de souffrance psychologique, alors l’action est le fruit du sentiment originel de la séparation, de la non complétude. L’action est alors menée dans un désir de justifier/d’agrandir/d’améliorer l’égo, elle est fragmentée et inspirée par le manque et la peur. L’individu croit qu’il est auteur de l’action et s’en accapare.

A partir de l’espace de la conscience, la paix, l’amour et la liberté sont les sentiments qui sont au coeur de l’expérience. L’action engagée à partir de cet espace n’appartient plus à personne, c’est une action qui fait partie du processus cosmique de la manifestation toute entière qui se déploie à chaque instant. Le corps-mental humain rejoint sa juste place en tant que processus-instrument de la création universelle. Dans l’expérience vécue, il n’y a aucune peur, aucun manque, aucune tentative de s’agrandir ou de s’améliorer à travers l’action. C’est une expérience de la justesse du moment, ce qu’il y a à faire est ce qu’il y a à faire, il n’y a aucun choix.

De manière plus appliquée, si l’on regarde les événements dramatiques des manifestations et des violences à Paris du 1er décembre 2018, quelle est la juste action? A chacun, selon sa capacité et sa perspective, de trouver l’espace de paix et de justesse en soi pour décider du prochain meilleur pas à faire. Ce ne sera pas le même pour tous. Mais ensemble, l’action toute entière sera juste et positive pour tous.

Paix en soi, pour la paix pour tous!

Kamala

La souffrance, c’est l’histoire qu’on s’en fait

Un événement ou un non-événement surgit. Des tensions dans le corps apparaissent à la conscience. Un mouvement de rejet vient comme une réaction habituelle pour camoufler, gérer ces sensations qui sont jugées négatives, à refouler. Ce simple mouvement qu’on ne peut pas contrôler est la naissance de la souffrance psychologique. Cette souffrance est le fruit d’une histoire que l’on associe aux sensations dans le ventre, la poitrine, la tête, ces sensations que la pensée a associé à l’angoisse, à la tristesse, à l’ennui, à la colère, la liste est sans fin.

Bercé par l’histoire associée aux sensations, nous croyons être une personne qui doit travailler sur elle-même pour devenir plus heureuse, ou qui est justifiée dans son malheur. Ce processus d’auto-hypnose soutient et nourrit la souffrance elle-même, comme une roue qui tourne sur elle-même, à vide.

Soudain, par la grâce, nous voyons que changer l’histoire, gérer nos sensations pour les rendre positives, plus agréables, est un vain effort. Nous voyons enfin notre limite, notre incapacité à faire quoi que ce soit pour rétablir l’équilibre. Lâcher prise. Un grand moment où rien ne se fait, rien ne se passe. Enfin! Il n’y a plus que l’écoute, une écoute sans intention, sans prétention, sans histoire. Un espace, des mouvements, plus d’espace, de l’intensité, une ouverture…Et beaucoup de joie! Le calme dans la joie, la joie dans le calme. Plus personne pour sentir, plus personne pour penser, il n’y a que l’écoute, la présence, lumineuse et si douce, en même temps si intense.

La magnificence du silence, l’espace où tout est possible, sans personne pour faire.

Kamala

La conscience est la lumière du monde

Ce n’est pas le soleil qui éclaire le monde, mais bien notre propre conscience.

Nous ne voyons pas un monde, nous ne connaissons pas un monde. Nous ne connaissons que nos perceptions. Nous ne percevons pas un monde, nous ne connaissons que l’expérience de voir, entendre, sentir (les odeurs comme les sensations) autrement dit percevoir. Il n’y a pas un monde, personne n’a jamais connu un monde en soi sinon que ses propres perceptions.

Comment sait-on qu’il y a expérience? On le sait car toute expérience apparaît à notre conscience. Sans la conscience qui sait, qui prend note qu’il y a expérience percevoir, il n’y aurait pas de preuve de l’expérience elle-même. La conscience est la preuve même de l’existence de l’expérience, et donc du monde. La conscience est la preuve du monde. Mais pas un monde fait d’objets extérieurs à nous, extérieurs à notre conscience, mais un monde-expérience qui n’apparaît que dans l’écran de la conscience, autrement dit en nous-mêmes.

Parlons de nous-mêmes. Qui sommes-nous vraiment? Nous percevons un corps qui change tout le temps, nos sensations changent, la vision du corps change, les odeurs, les idées changent. Tout ce que nous percevons change. Mais pour remarquer tout ce changement, il y a un champs qui ne peut pas changer, qui est absolument stable, et cela est le champs de la conscience. La conscience est cela en nous qui remarque le changement, mais qui ne change pas. Notre corps et nos idées évoluent, mais il y a un fonds qui donne toute sa continuité à cela, c’est la nature inchangeable de la conscience, ce « Je » qui est témoin du spectacle de l’expérience, de la vie.

En s’intéressant au « Je » essentiel, à l’espace de conscience, j’apprends petit à petit à reconnaître que c’est une source de calme et de repos. Au fur et à mesure que je m’y repose consciemment, je ressens ouverture et plénitude, comme s’il n’y avait plus rien qui manquait à mon bonheur. Je reconnais alors que ma vraie nature est déjà sérénité et liberté, dans une stabilité qui n’a ni de début ni de fin, comme un présent éternel.

Je peux compter dessus. C’est mon véritable refuge.

Les mots-cadeaux à Kamala – Retraite au Taillé 2018

Récoltés par Olivia et de la part de tous les participants de la retraite au Taillé en Ardèche, août 2018:

« Quand tout le plein est là, même le mot est de trop »

Le plein est là, Kamala, mais voilà : les mots qui suivent sont cadeaux.

D’ailleurs ne dit-on pas en recevant un cadeau : « c’est trop » ?

Voici donc les mots de tes retraités du Taillé.

Des offrandes de toutes tailles, des mots taillés sur mesure, taillés comme des diamants, qui scintillent au firmament.

C’est parti.

 

Des mots en « -ence », pour sortir de cette journée du… Silence

Expérience

Transparence

Présence

Conscience

Intense

 

Une petite cohorte en « I »

Identification

Initiation

Immensité

Intériorité

Ici (et maintenant)

 

Un medley de noms à l’unisson

Grandeur

Calme

Sérénité

Joie

Paix

Harmonie

Bien être

Repos

Tranquillité

 

Un échantillon en « -Dé »

Découverte

Détente

Déstabilisation

 

Une sélection en « -ion »

Explosion

Information

Compréhension

Nouvelles sensations

Des-accélération (de la part de quelqu’un qui a appris à accélérer des particules !)

 

Encore quelques noms

Doutes

Fatigue

Partage

Rencontre

Ouverture

Lâcher prise

Souffle

Aube

Promenade

Réveil

Lumière

soleil

souplesse

 

Quelques citations

On se ressemble, c’est réconfortant

Y’a du boulot (et peut-être à bientôt)

Un bon début !

 

Une poignée d’adjectifs

Merveilleux

Léger

Profond

Vrai

Riche

 

Prometteur

Existentiel

Absolu

 

Une dernière salve d’adjectifs en « ante »

Inspirante

Bienfaisante

Rafraîchissante

Enrichissante

Vivante

Ressourçante

Re-vivifiante

et un néologisme : Kamalante !

 

Les mots de la fin, pour boucler la boucle (merci Michel)

Plénitude

Plein de tout

Tout de plein

 

(Il ne nous reste qu’à)

Continuer sur cette route, ce chemin

Février 2018: retraite au Laos

J’ai eu le privilège et le bonheur d’animer ma toute dernière retraite de Kundalini Yoga et méditation en non dualité au nord du Laos, à Nongkhiaw au Mandala Ou Resort. Notre groupe de retraite était constitué de 7 participantes de France et dont une de Sydney.

Nongkhiaw est situé à plus de 100km au nord-est de Luang Prabang, au bord de la 2e rivière du pays, le Nam Ou. Notre resort se trouve juste en bordure de cette rivière, avec quelques bungalows avec vue sur l’eau, et les autres avec vue sur le jardin intérieur. Chaque bungalow a été construit selon le style traditionnel du pays, avec des matériaux naturels que le bambou et le bois. L’intérieur est décoré simplement mais avec goût, toujours en mettant en valeur l’artisanat traditionnel et local.

Tous les matins avant le coucher du soleil, nous avions le bonheur de nous réveiller avant même le staff du resort pour nous poser dans notre belle salle de yoga, ouverte sur la rivière et les montagnes alentours. Les oiseaux, l’eau, la brume, la fraîcheur matinale faisaient partie de notre moment présent. La pratique du Kundalini Yoga et de la méditation ouvrait nos sens, et nous aidaient à être en pleine présence, comme unies avec tout. C’était juste magique! Quel cadeau!

Le gérant du Mandala Ou Resort était aussi un passionné de gastronomie, il cuisinait les plats d’inspiration occidentale. Quel régal à chaque repas! Une fête pour les papilles et nos yeux ébahis!

Durant notre semaine de retraite, nous avons pu sortir pour découvrir la zone. Plusieurs balades en bateau nous ont donné une belle expérience de tous les paysages le long de la rivière. La jungle si dense et luxuriante sur les flancs de montagnes était impressionnante d’énergie, de beauté et de présence. Les montagnes, majestueuses, nous laissaient muettes d’admiration et d’émerveillement. Quelle nature, encore si sauvage et si authentique!

Un matin très tôt, notre groupe est parti torches en main gravir une montagne à Nongkhiaw avec pour objectif de jouir d’une vue panoramique au sommet. La marche fût très tonique, parfois très difficile et longue. Au bout d’1h30 de pente ascendante non stop, nous avons reçu le cadeau: un paysage tout ouvert à 360° de montagnes caressées par une mer de nuages et surplombant le Nam Ou et Nongkhiaw. Ce fût une expérience d’une beauté indescriptible et inoubliable!

Je remercie notre groupe qui a répondu à l’invitation de cette retraite, ce qui a rendu possible cette expérience de partage à l’autre bout du monde. Merci du fond du coeur!

Merci au Mandala Ou Resort pour nous avoir accueillies et servies avec tant de gentillesse et de grâce! Je me suis bien sentie reconnectée avec mes origines laotiennes 🙂

Je vous dis à bientôt pour une prochaine retraite, en 2019 ce sera sur une île en Thaïlande!

Love,

Kamala

Happy birthday Amma

To Amma, with love

Dessin de Kamala: les pieds de Amma

Dearest Amma, pure embodiment of the Divine Presence

May the life force keeps your body-mind healthy and strong

May all human beings in the world be inspired by you as living Truth

May our hearts melt with the heat of your Love and tireless Service

May we pull together our dedication and attention towards Self-realization

May we all experience our true nature, Sat Chit Ananda.

Gratitude forever.

Humbly yours,

Kamala

 

Soaring

Voici un partage d’une peinture que j’ai réalisée:

Mon essence est pure bonté, pure paix, et pure joie!

Ce que je pense n’est pas ce que je suis

Ce que je pense est tout simplement ce que je pense

Quand je confonds ce que je suis avec ce que je pense, mes actions deviennent le résultat de ce que je pense

Quand je m’identifie consciemment à ce que je suis, mes actions deviennent le résultat de ce que je suis

SAT CHIT ANANDA

Kamala

 

Retraite en Thaïlande février 2015

Une expérience inoubliable de beauté, de présence et de sourire!

Phu Chaisai Mountain Spa and Resort est situé à environ 45 min de l’aéroport de Chiang Rai, sur une colline tout au nord de la Thaïlande. Nous sommes plongés en pleine nature, entourés de belles montagnes verdoyantes de bambous, de bananiers, de palmiers, à perte de vue…

Les habitations sont des cottages construits en matière naturelle et locale en bambous et en terre, pourtant très confortables, voire luxueux. Chacune possède son propre espace extérieur avec un canapé et une vue complètement ouverte sur la nature. C’est une pure jouissance !

Le resort est comme un immense jardin tropical, construit autour d’un bassin de gros poissons rouges et d’un lobby complètement ouvert avec un toit circulaire en bambous. Des fleurs de toutes sortes absolument partout : amaryllis, orchidées, roses, cyclamen, nénuphars, et des centaines d’autres variétés inconnues à mon répertoire, offrent à tous un spectacle enchanteur pour tous les sens !

Et le chant des oiseaux qui virevoltent dans le ciel bleu infini…Un pur moment de bonheur immergé dans le sein de Mère Nature.

Chaque matin avant l’aube, lever à 5h00 pour la sadhana matinale dans une plateforme circulaire et ouverte sur tout le paysage…Le Yoga se déroule en même temps que le soleil se lève et commence à pointer son beau disque rouge à l’horizon sur fonds de montagnes tout embrumées…

Après un bon petit déjeuner bien copieux fait de produits frais et pour la plupart originaires du potager du resort, tout le groupe s’engage dans la camionnette pour une excursion découverte de ce beau pays tout sourire ! Car à chaque rencontre, un regard bienveillant, un sourire : -) Chaque geste fait avec grâce et un amour de servir et de rendre l’autre heureux ! C’est peu dire que nous nous sommes sentis immédiatement accueillis et comme chez soi !

Des excursions de toutes sortes, nature ou culturelles : rafting sur la rivière qui borde le domaine immense du resort, randonnée pour découvrir la flore luxuriante, visite d’une poterie magnifique qui produit des œuvres d’une grande qualité artistique, visite du temple blanc extravagant et étonnant, visite du temple du Bouddha d’émeraude, balade sur dos d’éléphant en traversant une petite rivière, balade en bateau jusqu’au Triangle d’Or, là où le Mékong joint les 3 pays Thaïlande, Laos et Myanmar, et une fantastique balade en poneys thaïs bien inspirante !

Après une après-midi farniente, le satsang rassemble le groupe pour un partage autour de Sat Nam (la Vérité-Identité), suivi de la sadhana du crépuscule en accompagnant le coucher du soleil. C’est un cadeau précieux d’être plongé dans une nature si belle et généreuse, préservée et mise en valeur par l’homme, et de pratiquer le yoga, la méditation…On sent son être en expansion, dans un espace libre et pur.

Et puis, un dîner délicieux aux saveurs exotiques sur la terrasse en bambous, avec le claquetis de l’eau et le chant des grenouilles : -) Le soir du nouvel an chinois, nous avons même eu droit à dîner sur une terrasse rien qu’à nous, cela s’appelle « private dining », et tout le groupe s’est senti comme des rois et des reines!

Tout raconter par des mots n’est pas chose aisée tellement nous avons vécu de beaux moments de pure connexion avec la nature et aussi humaine. Une complicité dans le groupe, et une harmonie toujours bienveillante avec les habitants locaux. Un travail intérieur de présence induit par le yoga et la méditation qui est allé profondément dans le cœur de chacun.

Le Yoga et la Méditation, ainsi que les temps de partage en satsang, ont permis d’aller plus loin dans l’écoute et la jouissance du moment présent…Un espace en Soi, un espace qui accueille le monde entier dans son cœur.

Je remercie tout le groupe d’avoir repondu présent à l’appel de cette retraite, et aussi toutes les personnes qui nous ont rendu service en Thaïlande.

Cliquez ici pour accéder aux photos de la retraite : -)

Quelques témoignages des membres du groupe :

Eric :

« Bonjour chers tous une immense joie, un joli partage d émotions pures et sans retenue, des rencontres et des découvertes sublimes, des odeurs et des vues magnifiques, une écoute profonde, une délicatesse dans les échanges dans nos satsang  et nos satnam sourire avec a nos côtés la grâce et la bienveillance de notre chère enseignante, une magnifique chef d orchestre et une amoureuse de la vie universelle, pour tous ces instants vécus avec présence conscience avec vous tous lors de cette retraite je vous dis merci love »

Henan :

« Notre retraite à Phu Chaisai est un merveille, chaque fois quand j’y pense, c’est la joie, la paix et la gratitude qui me remplissent. L’ouverture, le partage, la simplicité, l’harmonie… Merci à toutes et à tous. »

Cheikh :

« Cette retraite à Phu Chaisai fut pour moi un mélange d’intenses émotions lors des séances de méditation, du purs moments de grâce face à des paysages inspirants, des échanges simples et sincères, des éclats de rire généreux partagés avec chaque membre du groupe . Merci à tous. Merci à Kamala d’avoir entretenu ce micro climat. Merci également pour tous les enseignements que tu as prodigués durant nos séances. Pour ma vie personnelle, il y aura un avant et un après Phu Chaisai. Kamala, tu es un amour…Namasté »

Martine:

« L’expérience du yoga a commencé par le sourire et l’accueil des thaïlandais. L’autre cadeau était le lieu : planté dans la splendeur des montagnes et la luxuriante forêt tropicale, construit avec des matériaux vivants et inscrit dans le paysage et la nature. Et puis la pratique quotidienne du yoga avec l’attention, la voix, la ferveur de Kamala. Mouvements, respiration, échanges, le groupe s’est aussi mis à vibrer et le temps s’est arrêté. Je me suis laissée portée, j’ai ri, aimé, vibré avec le son des oiseaux à leur réveil, avec la nature, les odeurs, heureuse de sentir que je pouvais encore bouger, que la vie pouvait continuer. Merci kamala »

Merci à tous et à la prochaine retraite ! Avec toute ma gratitude !

Love

Kamala

Ce que nous sommes

Ce que nous sommes est comme un immense espace de Présence-Conscience, infini dans sa profondeur et sa paix, éternellement libre et créatif! L’identification de cet espace avec quoi que ce soit nous réduit et nous emprisonne par des cloisons illusoires, et surtout biaise notre contact et notre compréhension au moment présent. Cela est à la source de toute souffrance psychologique humaine, à l’échelle de la vie quotidienne comme de la planète. Faire un pas vers notre véritable identité c’est poser une brique pour construire un monde meilleur.