Une recette délicieuse et ultra facile à réaliser pour les amoureux de noix et de chocolat noir, et sans gluten
Ingrédients bio pour un cake de 6-8 parts:
125g poudre d’amandes complètes
3 CAS de sucre de canne complet
1 CAS de graines de chia
1 demi sachet de poudre à lever
2 oeufs
25g de beurre doux fondu
1 yaourt type fromage blanc nature
1 tablette de chocolat noir 70% minimum
Préparation:
Pré-chauffer le four à 180°C à mi-hauteur,
Mélanger tous les ingrédients sauf le chocolat noir dans un grand saladier,
Verser le mélange dans un moule à cake en silicone ou traditionnel et tapissé de papier cuisson,
Casser la tablette de chocolat noir en morceaux et placer directement dans le mélange de manière régulière afin que chaque part puisse avoir du chocolat,
Mettre le moule au four et laisser cuire pendant environ 30 min,
Vérifier la cuisson avec une lame de couteau, la lame doit ressortir du cake sans que la pâte ne colle.
Dégustez chaud à tiède pour profiter du chocolat encore tout fondant. Pour les grands gourmands, accompagnez d’une crème fraîche.
Rien de mieux pour booster son immunité de manière saine et naturelle, tout en se régalant d’un bon jus fraîchement préparé!
Le gingembre est un puissant anti-oxydant, anti-inflammatoire, facilite la digestion et aide à réduire la fatigue. Il préserve aussi la chaleur du corps.
Le kiwi contient plus de vitamine C que nos besoins journaliers, et booste littéralement notre capacité à combattre les virus et les bactéries. Idéal pour cette saison compliquée!
La pomme est bien sûr reconnue pour ses bienfaits digestifs, contre le diabète, et aussi contre les maladies neuro-dégénératives. Que du bon dans la pomme! En anglais, on dit même « an apple a day keeps the doctor away! » :-))
Ingrédients bio pour un grand verre:
1 morceau de gingembre frais, environ de la taille d’un demi pouce
2 kiwis
1 pomme
eau minérale ou filtrée
Préparation:
pelez le gingembre, les kiwis et la pomme
coupez la pomme en quartiers en retirant le coeur et les pépins
Dans un mixer, mettez tous les ingrédients et ajoutez un verre d’eau
Mixez le tout, et goûtez
Sucrez avec du syrop d’agave, ou du miel si besoin, et ajoutez plus d’eau si nécessaire.
Revenant d’une formation sur la théorie U (créée par Otto Scharmer de la MIT, Massachusetts) à Cape Cod au sud de Boston, je me sens inspirée pour apporter tout mon savoir être et mon savoir faire au monde des entreprises et des institutions.
Selon Bill O’Brien (ex CEO de Hanover Insurance), la réussite d’une intervention dépend de la condition intérieure de l’intervenant. Quand j’étais à l’ESCP, ce n’était pas ce qui était enseigné. On parlait sans cesse de structure organisationnelle, de processes, du comment et pas du tout de la condition intérieure des humains qui travaillent et agissent dans les organisations.
La théorie U permet de faire le lien entre la pratique active de la méditation et de l’écoute de nos 5 sens et les situations complexes vécues au niveau collectif. Aujourd’hui, nous faisons face à des divisions à l’échelle globale que nous ne pouvons plus nous permettre d’ignorer, et nous devons changer de modus operandi pour ne plus obtenir collectivement des conséquences que personne ne veut.
Les grandes divisions aujourd’hui sont les suivantes:
Division environnementale: nous utilisons actuellement plus de 1,5 fois la capacité de régénération de la planète terre, ruinant et détruisant les ressources naturelles, et exacerbant la crise du changement climatique pour tous.
Division socio-économique: le fossé entre riches et pauvres continue à grandir jusqu’à un point d’absurdité. Les 26 milliardaires les plus riches de la planète détiennent désormais autant d’argent que la moitié la plus pauvre de l’humanité, selon un rapport d’Oxford publié en janvier 2019, en marge du forum économique de Davos.
Division spirituelle: en 2010, un rapport informe que le nombre de morts par suicide a dépassé le nombre de morts par les guerres et les catastrophes naturelles. Cela signifie qu’il y a plus de gens tués par suicide que par un acte extérieur. Notre société souffre du stress, des dépressions nerveuses et du burn-out. Il y a un sentiment connu par la plupart d’entre nous de vide intérieur, de fossé entre ce que l’on est actuellement et ce que l’on pourrait être au futur (notre version la plus élevée de soi). Quand ce fossé semble infranchissable, nous nous sentons complètement impuissants et ne savons plus comment nous en sortir.
Au niveau collectif, nous répétons des modes de fonctionnement qui génèrent des résultats que personne ne veut.
Cela tient dans notre manière de penser, à la qualité de nos pensées. Car la structure/forme suit la pensée. Et la qualité de la pensée dépend de la qualité de notre attention. Là où je pose mon attention, c’est là où mon énergie va: « energy flows where attention goes« , Otto Scharmer.
Toute création humaine est d’abord née d’une pensée. Mais quand cette pensée est une répétition des schémas du passé, le passé lui-même se répète avec ses conséquences. Par contre, quand une pensée naît de notre dimension intérieure la plus profonde et la plus inspirée, elle est porteuse d’innovation et de sens pour l’individu et aussi pour la communauté toute entière.
Pour avoir un impact au niveau collectif, dans un contexte organisationnel, ce n’est plus suffisant de cultiver sa qualité d’attention et d’écoute au niveau individuel. Même si cela aide l’individu qui travaille sur lui-même à se sentir mieux, plus confiant et serein, le vrai changement collectif provient de notre capacité de nous connecter au champ de la pleine présence collective, pour voir et sentir ensemble le terrain commun et de co-créer à partir de ce terrain commun.
C’est cela le rôle et le défi du leadership (dirigeants et des acteurs du changement) aujourd’hui: comment faire pour qu’au niveau collectif nous arrivions à modifier réellement notre manière de voir, de sentir, et d’écouter afin de comprendre vraiment et profondément ce qui se passe à l’échelle du groupe et de l’environnement, et laisser émerger des idées novatrices et porteuses d’amélioration réelles pour tous.
Pour cela, en 1er lieu, le leader doit lui-même apprendre à suspendre ses vieux automatismes de jugement, de cynisme et de peur, afin de pouvoir plonger dans la pleine présence et écouter avec ses 5 sens ses collaborateurs, ses clients et ses partenaires. S’il ne change pas radicalement sa condition intérieure, un leader ne peut pas faciliter le vrai changement dans son équipe, et encore moins au niveau de l’organisation. Le vrai changement commence au coeur de la partie invisible du leader, sa condition intérieure, càd sa qualité d’attention, sa qualité de présence et d’écoute.
En 2e lieu, le leader facilite les conditions et crée un espace sécure où son équipe et son organisation peuvent suspendre leurs préjugés collectifs (le syndrôme de la pensée unique, phénomène très courant dans beaucoup d’organisations où il n’est pas bien vu de penser autrement), voir et sentir ensemble le problème dans son intégralité et de perspectives différentes, et se donner la possibilité de laisser émerger des idées nouvelles et transformantes. Et bien sûr, passer à l’acte, càd au prototypage et aux tests itératifs pour apprendre en faisant. C’est le principe d’allier head-heart-hand ou tête-coeur-main. Pour comprendre l’importance du faire pour apprendre, voir les insights générés par le Marshmallow Challenge ( voir vidéo: cliquez ici). Faire des erreurs souvent mais tôt pour apprendre le plus vite possible. Ne pas retarder le moment de l’apprentissage en voulant planifier et s’assurer que tout sera parfait et bien ficelé. C’est le principe du « Fail often, learn fast ».
C’est ce travail d’accompagnement pour l’individu et le collectif que je fais, et cela me passionne.
Le grand défi de notre temps: passer de la conscience focalisée sur l’égo (mes besoins, mes désirs et mes peurs) à la conscience ouverte au collectif (nos besoins, nos défis, notre intention commune, nos actions communes).
Forte de ma double expérience dans le management et dans la pratique et l’enseignement de la pleine présence, je vous apporte tout mon savoir être et mon savoir faire pour vivre un changement réel et profond au sein de votre organisation. Je suis disponible pour m’engager auprès de vous en tant que leader et de vos équipes, et vous aider à transformer non seulement votre bien être individuel mais aussi la qualité d’écoute et de collaboration à l’échelle collective.
Nous ne pouvons plus répéter les anciens schémas, nous devons innover pour générer des résultats positifs pour tous, c’est urgent.
Dans un grand saladier, mélangez ensemble la noix de coco râpée, la farine de tapioca, la poudre à lever, et le sucre de coco.
Videz le pot de fromage blanc et versez le lait de coco, bien mélangez le tout pour obtenir une pâte homogène. Si la pâte est trop visqueuse, ajoutez un peu plus de lait végétal, l’ensemble doit être un peu liquide.
Versez la pâte dans un moule à cake en silicone (ou en métal pré-habillé de papier cuisson)
Sur le dessus de la pâte, éparpillez les pépites de chocolat et les raisins secs.
Enfournez pendant environ 30 min. Une bonne odeur de cocoVérifiez la cuisson avec une lame de couteau. La lame doit ressortir propre.
Laissez refroidir avant de démouler. Pour mieux démouler, passer la lame du couteau sur les rebords du gâteau.
Servez avec de la glace vanille au lait de soja, et des fruits rouges. Cela vous fera un dessert gourmand, tropical et léger.
Dans un saladier ou un grand bol, peler et écraser les bananes jusqu’à obtenir une pâte épaisse,
Ajouter les oeufs et les flocons d’avoine et bien mélanger le tout,
Dans une petite poêle à crêpes, verser une CAC d’huile de coco et chauffer à feu moyen. Quand l’huile est chaude, verser une louche de pâte à pancake dans la poêle. Laisser cuire 2 minutes et vérifier avec une spatule que le fond du pancake est doré. Avec la spatule, retourner le pancake et cuire sur l’autre face pendant encore 2 minutes.
Quand les deux faces sont dorées, server le pancake dans une assiette plate et déguster immédiatement 🙂
Pour obtenir une consistance plus solide, vous pouvez ajouter plus de flocons d’avoine. Pour un peu plus de croustillant, ajoutez 1 CAS de graines de chia ou de pavot.
1 CAS de pâte de gingembre et d’ail (mixer 1 gousse d’ail à 1 CAC de gingembre en poudre)
3 CAS d’huile végétale (olive ou colza)
250ml de lait de coco
1/2 bouquet de coriandre fraîche
sel et poivre selon vôtre goût
Préparation:
Eplucher les betteraves et la carotte, et couper sous forme d’allumettes. Rincer et égoutter.
Eplucher les pommes de terre et les couper en cubes.
Eplucher l’oignon et l’émincer.
Dans une sauteuse, faire revenir l’oignon dans l’huile végétale puis ajouter les graines de moutarde, le cumin, le garam masala et la pâte ail/gingembre. Bien remuer le tout.
Ajouter les betteraves, la carotte et les pommes de terre. Mélanger et verser le lait de coco par-dessus. Rajouter 1/2 L d’eau. Saler et remuer le tout.
Laisser cuire à feu moyen pendant 30 min ou jusqu’à ce que les légumes soient tendres.
Servir chaud avec du bon riz basmati complet et parsemer généreusement de coriandre ciselée.
Au fur et à mesure que l’art de la non dualité s’impose au quotidien, la subtilité que nous sommes se révèle à moi, à soi de manière évidente et si palpable.
Nous avons tant l’habitude d’habiter un corps humain, et d’agir en tant que tel, en nous identifiant à nos sensations et nos pensées que le monde nous semble exister tout autour de nous, en-dehors de nous-mêmes. Cela génère automatiquement un décalage entre soi et le reste, ce décalage étant ressenti comme un sentiment profond de manque, de vide, d’inadéquation et d’instabilité intérieure. Nous le connaissons tous, avec une intensité plus ou moins forte selon les périodes de notre vie et le degré d’occupation de nos journées, mais il est bien là, latent ou évident.
Au fur et à mesure de mon parcours de yogi, dans cette quête incessante de retour à la vérité de soi et de la réalité de ce monde, les questions les plus essentielles se posent: « qui suis-je? », « quelle est la nature de la réalité? ».
En laissant l’instant et le silence m’enseigner ce que je suis, les barrières imaginaires entre « je » et le monde s’estompent. Au coeur de la méditation, je m’invite à revenir à ma présence, et je me rends compte que je suis en fait présence-conscience. Je ressens que la nature de ce que je suis est toujours paisible et ouverte, et que je n’existe pas dans le sens latin « se tenir en-dehors de », mais que je suis, tout simplement, un sentiment d’être qui est intemporel, hors de la relativité du temps linéaire. Le mot « sentiment » est de trop…Comme tous les mots. Il n’y a que le pur être.
Il n’y a plus dans les actes un individu bien séparé qui agit dans le monde. On ne ressent plus cela. Le sentiment qui prédomine est celui d’être l’espace-écran tout entier et que l’expérience du moment présent évolue en soi-même. Mais les mots aussi peuvent créer malgré eux un décalage qui en fait n’est pas, entre l’écran et le contenu de l’écran. Il n’y a que le moment présent, il n’y a que la présence. Le présent et la présence sont un.